«Un enfant par semaine, cela représente cinquante-deux enfants par an. Un tour, deux tours de moulinette et hop ! ... plus d'enfant !» ATTENTION : les vraies sorcières sont habillées de façon ordinaire et ressemblent à n'importe qui. Mais elles ne sont pas ordinaires. Elles passent leur temps à dresser les plans les plus démoniaques et elles détestent les enfants. La grandissime sorcière les déteste plus que tout et compte bien les faire tous disparaître. Seuls un garçon et sa grand-mère peuvent l'en empêcher, mais si leur plan échoue, la grandissime sorcière va les faire frrrire comme des frrrites.
Robert a passé une très mauvaise journée. Il n'est pas de bonne humeur et en plus, son papa l'a envoyé dans sa chambre. Alors Robert sent tout à coup monter une chose terrible : la colère...
Quand il était petit, Pierre ne voulait pas manger sa soupe. «Tu sais ce qui arrive aux petits garçons qui ne veulent pas manger leur soupeoe» lui disait son père, «Eh bien, à minuit, la sorcière Cornebidouille vient les voir dans leur chambre, et elle leur fait tellement peur que le lendemain, non seulement ils mangent leur soupe, mais ils avalent la soupière avec.» Pierre s'en fichait. Il ne croyait pas aux sorcières. Mais il faut admettre que son père avait raison sur un point: une nuit, à minuit, dans la chambre de Pierre, la porte de l'armoire s'entrouvrit avec un grincement terrible et Cornebidouille fit son apparition. Allait-elle parvenir à faire peur à Pierreoe Ca, c'était beaucoup moins sûr.
Il était une fois trois vilains brigands. dont la vie changea totalement le jour où ils rencontrèrent Tiffany, la petite orpheline. De trois méchants elle en fit ...des bienfaiteurs de l'humanité.
Dans La vengeance de Cornebidouille, Pierre avait réussi à faire manger sa propre soupe à l'abominable Cornebidouille, ce qui l'avait illico transformée en potiron. Mais une sorcière se résigne-t-elle à sortir de la vie de ses victimes ? Non ! Plus tard, quand sa maman coupe en deux un poti ron pour le dîner et qu'aussitôt une odeur épouvantable se répand, Pierre a une intuition : Cornebidouille est de retour. Il ne se trompe que sur un détail. À présent, elles sont deux et elles veulent se venger. Il va encore falloir ruser !
Ses parents l'ont envoyé au lit pour avoir renâclé devant sa soupe de légumes. Mais Pierre est décidé à ruser et à trouver un moyen imparable pour éliminer non seulement Cornebidouille, la sorcière coincée dans les cabinets, mais aussi l'horrible potage de sa propre mère !
Dans un épisode précédent, Cornebidouille et son double Cornebidouille avaient échoué dans la poubelle, comme de vieux déchets vaincus. Décidées à se venger, elles se réunissent, forment un grain de poussière et hop ! grimpent sur la tête du petit Pierre...puis dans son gosier. Le malheureux enfant ensorcelé se met à parler très bizarrement. Il traite le docteur venu le soigner de " Prout de chamois "...
Oh là là, au secours, danger ! Heureusement, petit Pierre a plus d'un tour dans son sac. Ce n'est pas encore cette fois que Cornebidouille gagnera !
Petit-Bleu vit à la maison avec Papa-Bleu et Maman-Bleu. Il a plein d'amis, mais son meilleur ami c'est Petit-Jaune. Petit-Jaune habite juste en face avec Papa-Jaune et Maman-Jaune. Petit-Bleu et Petit-Jaune sont tellement contents de se revoir aujourd'hui qu'ils s'embrassent et deviennent... tout vert ! Mais leurs parents vont-ils les reconnaîtreoe Ce livre publié en 1970 est très vite devenu un classique de la littérature jeunesse, tant par son approche graphique originale que par la profondeur des sujets qu'il aborde, notamment l'amitié et la différence.
- Dis, maman, est-ce que tu m'aimeras toute la vie ? demande Archibald, un soir avant de s'endormir - Hum, eh bien, je vais te dire un secret., répond sa maman.
Ainsi commence le tendre inventaire des moments de vies partagés entre une mère et son enfant, où tout devient prétexte à s'aimer.
Sur chaque double page, Astrid Desbordes a choisi d'opposer en vis-à-vis des situations contraires, qui jouent avec aisance sur les registres du quotidien et de l'imaginaire, de la poésie et de l'humour. Le message de cet irrésistible album est simple et limpide : l'amour est constant et sans condition. Mais c'est dans la toute dernière phrase que se cache le véritable secret : « Je t'aime parce que tu es mon enfant / mais que tu ne seras jamais à moi. » Les illustrations de Pauline Martin, subtiles dans le trait comme dans la couleur, soulignent avec force la délicatesse de cette formidable déclaration d'amour.
« Pondre, toujours pondre ! Il n'y a pas que çà dans la vie ! Moi je veux voir la mer ! » s'écrie Carméla, la petite poule blanche. Son père, le coq, n'a jamais rien entendu d'aussi fou. « File au lit », ordonne-t-il à la poulette. Mais Carméla n'arrive pas à s'endormir...
C'est l'heure d'aller dormir. Petit Lièvre Brun attrape les longues oreilles de Grand Lièvre Brun et ne les lâche plus. Devine combien je t'aime, dit-il. (tout carton).
Après "La Grande École" et "Le Secret des parents", Nicolas Mathieu signe un nouvel album empli de sensibilité, de nostalgie et de tendresse sur ce qui se joue là de l'enfance et de la paternité. Un dialogue malicieux et touchant, sur la complicité entre un fils et son père qui le regarde grandir, inexorablement.
« Un jour, mes parents m'ont dit que j'allais avoir une petite soeur.
C'est drôle, je ne me souvenais pas leur avoir demandé. » C'est Archibald qui nous fait cet aveu en introduction du nouvel album de Pauline Martin et Astrid Desbordes, qui reprennent ici le personnage de Mon Amour dans le rôle d'un grand frère curieux mais dubitatif face à l'arrivée d'une petite soeur avec laquelle il va désormais devoir compter.
Au fil des pages, la petite soeur grandit, trouve sa place dans les jeux, dans le coeur, mais aussi dans les inquiétudes d'un grand frère parfois jaloux, souvent tendre et finalement très fier de ce rôle nouveau. Car, nous dit Archibald, « ce que je préfère avec ma petite soeur, c'est être son grand frère ».
Astrid Desbordes nous surprend une nouvelle fois par la subtilité et l'humour de son propos, remarquablement soutenu par les illustrations de Pauline Martin.
La vie s'épanouit autour de nous, sur la terre. Mais quels univers se cachent au-dessus de nos têtes, dans les arbres, sur les toits, les monts enneigés, dans l'espace ?
Un livre animé original pour découvrir ce qui se passe de plus en plus haut !
Une nuit, les habitants du poulailler sont tirés de leur sommeil par des bruits inquiétants en provenance du grenier. « Des voleurs de poules ! » s'écrient les enfants terrifiés. Carmélito et sa soeur Carmen décident d'affronter les intrus. Les P'tites Poules vont découvrir ce que c'est que d'avoir des voisins pénibles...
La rivière qui serpente près du poulailler des P'tites Poules a pris une teinte pas très ragoûtante. Carmen, Carmélito, Bélino et tous leurs copains hésitent à s'y baigner. Pire ! De ces eaux hier encore si claires monte une odeur infecte...
Quand il part pour la guerre de Troie, Ulysse sait ce qu'a prédit l'oracle : il ne reverra Ithaque, son île, que dans vingt ans...
Après Le feuilleton d'Hermès et Le feuilleton de Thésée, Murielle Szac invite à nouveau les enfants à se plonger dans la mythologie grecque en suivant le personnage d'Ulysse. Ulysse le voyageur, qui sait en quittant sa chère Ithaque, sa douce Pénélope et son petit Télémaque qu'il ne les reverra pas avant vingt ans, pas avant d'avoir exploré des mers et des terres inconnues, pas avant d'avoir été au bout de sa destinée. Ulysse aux mille ruses, qui trouvera l'idée d'un cheval-piège pour mettre fin à l'interminable guerre de Troie, qui devra combattre le cyclope Polyphème, résister à la plante de l'oubli, aux chants des sirènes et aux charmes de la magicienne Circé. Ulysse le naufragé, qui tombera plusieurs fois de Charybde en Scylla. Ulysse l'exilé, qui, toute sa vie, n'aura qu'un désir :
Rentrer chez lui et retrouver les siens... Divisé en épisodes courts, pleins de suspense, Le feuilleton d'Ulysse est avant tout un roman épique. L'auteur y mêle des épisodes de l'Illiade et de l'Odyssée pour créer un récit riche en émotions, mais son objectif est également de renouer avec l'oralité afin de rendre ce récit accessible aux jeunes lecteurs, et même aux non-lecteurs.
Roule galette, Poulerousse, Michka, La famille Rataton, La Vache Orange, Le gros navet...Découvrez 47 grandes histoires du Père Castor devenues des classiques de la littérature pour enfants.
L'autre jour, un truc terrible est arrivé à mes doudous. Ça s'est passé quand j'étais à l'école, c'est Berk mon canard qui me l'a raconté. Une espèce de patate molle est entrée dans la chambre. Personne n'y a fait attention. Et puis. GLOUP ! elle a avalé Lapinot ! Et elle a pris la forme de Lapinot ! Tous mes doudous l'ont observée et ils ont compris: c'était un Mange-doudous! À partir de ce moment-là, ça a été l'affolement général.
Approcher les étoiles ! Depuis qu'il est sorti de son oeuf, Carmélito, le petit poulet, ne rêve que de ça. Oui, mais comment faire quand on n'est qu'un minuscule poussin face à l'Universoe A coeur de poulet, rien d'impossible !
Elmer est différent des autres éléphants : il est bariolé et cette différence lui déplaît. Mais il découvrira que sa singularité ne l'empêche pas de rester le même bon Elmer pour ses amis.
Classe de mer pour les petites poules ! Carmélito, Carmen, Bélino et leurs amis ont débarqué sur une île merveilleuse. Dans ce pays béni des dieux, friandises et douceurs vous tombent généreusement dans le bec. Sans parler des collines de pop-corn et des rivières de menthe à l'eau glacée. Et ici, tout est gratuit ! Un vrai paradis. Mmouais. Peut-être trop beau ?
Les petites poules ont le gésier dans les talons. Au poulailler, plus le moindre grain de blé à picorer ! Pire, une rumeur court dans la basse-cour : une horrible bestiole venue du fond des âges serait la cause de cette famine ! Carmen, Carmélito et Bélino réussiront-ils à s'en débarrasser ?
Charlotte a un ami qui n'est pas comme les autres. C'est un chien au pelage bleu et aux yeux verts brillants comme des pierres précieuses. Il vient la voir tous les soirs. Charlotte aimerait le garder mais sa maman s'y oppose. C'est alors qu'elle se perd dans la forêt.